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9.12.06
LA QUIERO A MORIR / NE ME QUITTE PAS
JACQUES BREL .Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Paroles et Musique: Jacques Brel 1959
Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
On a vu souvent
Rejaillir le feu
D'un ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.
FRANCIS CABREL. La quiero a morir
Y yo que hasta ayer
sólo fui un holgazán,
y hoy soy el guardián
de sus sueños de amor
La quiero a morir.
Podéis destrozar
todo aquello que veis,
porque ella de un soplo
lo vuelve a crear
Como si nada.
Como si nada.
La quiero a morir.
Ella para las horas
de cada reloj
y me ayuda a pintar
transparente el dolor,
con su sonrisa.
Y levanta una torre
desde el cielo hasta aquí.
Y me cose unas alas
y me ayuda a subir
a toda prisa,
a toda prisa
la quiero a morir.
Conoce bien cada guerra
cada herida, cada ser;
conoce bien cada guerra
de la vida y del amor también.
Me dibuja un paisaje
y me lo hace vivir
en un bosque de lápiz
se apodera de mí.
La quiero a morir.
Y me atrapa en un lazo
que no aprieta jamás
como un hilo de seda
que no puedo soltar.
No quiero soltar.
No quiero soltar.
La quiero a morir.
Cuando trepo a sus ojos
me enfrento al mar.
Dos espejos de agua
encerrado en cristal.
La quiero a morir.
Sólo puedo sentarme,
sólo puedo charlar,
sólo puedo enredarme,
sólo puedo aceptar
ser sólo suyo,
ser sólo suyo.
La quiero a morir.
Conoce bien cada guerra
cada herida, cada ser;
conoce bien cada guerra
de la vida y del amor también.
Y yo que hasta ayer
sólo fui un holgazán,
y hoy soy el guardián
de sus sueños de amor
La quiero a morir.
Podéis destrozar
todo aquello que veis,
porque ella de un soplo
lo vuelve a crear
Como si nada.
Como si nada.
La quiero a morir.
(Francis Cabrel)
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
(Francis Cabrel)
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